Travailler vite, travailler bien, anticiper pour mieux respecter les délais… Notre réactivité est reconnue et appréciée de nos clients, qui nous renouvellent régulièrement leur confiance. Exemple avec un plateau de bureaux situé dans le 8e arrondissement de Paris.
Dans l’immeuble du 47 rue de Ponthieu, à deux pas des Champs-Élysées, les équipes d’ARHPE étaient déjà intervenues sur plusieurs niveaux. Cet immeuble tertiaire appartient à Covéa Immobilier, la structure qui gère le patrimoine immobilier du groupe Covéa, né du rapprochement de MAAF, MMA et GMF. Nouvel objectif sur ce site au printemps 2018 : rénover au plus vite un plateau de bureaux de 200 m². Un locataire potentiel est intéressé, mais très pressé, Covéa Immobilier veut donc que les travaux avancent vite… Stéphanie G. , chargée de travaux chez COVÉA Immobilier, pilote le projet, dont la maîtrise d’œuvre est confiée à Patrick Couffin, directeur d’études du cabinet ETC. Un appel d’offres est lancé, et AHRPE ayant déjà eu l’occasion de démontrer son efficacité et son savoir-faire sur ce site, sa proposition est retenue.
Sur de tels projets de taille moyenne et ne présentant pas de grande difficulté technique, AHRPE fait, en effet, la différence sur plusieurs points. En particulier sa rapidité d’exécution. Preuve de la confiance que notre société inspire, parallèlement à ce projet parisien, Covéa Immobilier et le maître d’œuvre Patrick Couffin ont confié à AHRPE une autre prestation, très similaire, et à réaliser dans des délais tout aussi courts, dans un immeuble tertiaire situé cette fois à Boulogne-Billancourt, en région parisienne, et sur lequel AHRPE intervient également. « Ce type d’opération, c’est notre quotidien, ce sont des interventions où l’on doit être très réactifs pour que l’espace puisse être loué rapidement. Ces chantiers sont souvent réalisés en deux mois », explique Philippe Chassagne, cofondateur d’AHRPE et spécialiste de la rénovation du secteur tertiaire.
« Sur ces deux projets à Paris et Boulogne-Billancourt, poursuit Philippe, nous avons travaillé sur les lots architecturaux, d’abord la démolition, c’est-à-dire la mise à nu et le curage du plateau de bureaux. Ensuite, sur tout ce qui concerne carrelage, sanitaire, placo, faux plafonds, peinture et revêtement de sol. » Les lots électricité et climatisation ont été traités à part.
Pour autant, travailler vite ne signifie pas faire des concessions sur la qualité, confirme le maître d’œuvre Patrick Couffin : « Le niveau de prestation est au contraire très soigné parce qu’on est dans les beaux quartiers : les matériaux, la moquette, le faux plafond avec une gorge lumineuse… AHRPE a assuré également un gros travail de menuiserie, toutes les consoles de climatisation sont notamment habillées. » Classiquement, le plateau de bureaux doit être livré sous la forme d’un grand open space – qui a presque toujours la préférence des locataires pour aménager l’espace à leur convenance.
De même, « pour les coloris, nous avons reproduit ce que nous avions fait sur les autres niveaux, repris les mêmes nuances, parce que si un locataire prend plusieurs niveaux, il souhaite garder une uniformité de couleur », détaille Patrick Couffin.
Pour le maître d’ouvrage et le maître d’œuvre, l’efficacité de la prestation d’AHRPE se mesure également à la manière dont sont respectés l’environnement et les locataires déjà présents dans l’immeuble, explique Philippe Chassagne : « Dans la mesure où les autres niveaux sont occupés par des locataires, il faut respecter les parties communes, prévoir des approvisionnements qui ne gênent pas l’utilisation de l’immeuble. Par exemple des livraisons vers 7 ou 8 heures, donc tôt le matin. Le plus souvent, on ne condamne pas non plus les ascenseurs ; si nécessaire, on loue un monte-matériaux extérieur pour faire des approvisionnements par les fenêtres. Là, nous avons pu nous en passer car nous étions sur des niveaux accessibles. »
Rodées à ce genre de prestation, les équipes d’AHRPE anticipent aussi les démarches administratives (par exemple pour dresser au besoin un échafaudage extérieur, qui nécessite une demande d’emprise sur voirie auprès de la préfecture de police). AHRPE évite également les ralentissements dus à des matériaux spéciaux risquant d’impacter les délais. Sur l’immeuble de Boulogne-Billancourt, par exemple, des portes d’accès coupe-feu vitrées étaient souhaitées par le client. Les délais de livraison étant plus longs pour ce type d’équipement, seule une commande très en amont permet de fluidifier le chantier.
« On sait tout de suite ce qu’il faut faire, résume Philippe. Sur ce type de chantier standard où le client a besoin d’un temps de vacance du plateau le plus court possible, nous sommes capables de mobiliser les équipes en huit ou dix jours pour commencer le chantier. » Le plateau de la rue de Ponthieu a, bien sûr, été livré dans les temps, et celui de Boulogne-Billancourt, qui se termine actuellement, devrait s’achever… avec près d’un mois d’avance.
« Les gens d’AHRPE sont sérieux, ils tiennent les délais, nous réalisons ensemble un vrai travail collaboratif », juge le maître d’œuvre Patrick Couffin. « Sur une opération comme celle-là, poursuit Patrick Couffin, le maître d’ouvrage Covéa participe aussi aux réunions. Nous formons tous une même équipe. L’intérêt du maître d’ouvrage, évidemment, c’est que l’on puisse libérer le plateau dans les temps que l’on s’était fixés. Mais lorsqu’il s’agit de plateaux qui peuvent être loués très vite, si l’on peut finir encore plus tôt, le locataire et le maître d’ouvrage ne demandent pas mieux. C’est ce qui s’est passé sur ce chantier, tout le monde a donc travaillé dans le même sens pour satisfaire le client. »
« On est dans les temps, on a des prix raisonnables au mètre carré et on a une prestation assortie qui est plus que correcte, conclut Patrick Couffin. Covéa Immobilier est satisfait. » AHRPE l’est tout autant d’avoir, une fois encore, démontré son implication, son expérience et sa réactivité au service de ses clients.